Naorha Yel'Aëlva ~> Marchombre [ACCEPTEE]

~ Formulaire ~

~ Votre Personnage ~
Nom: Yel'Aëlva
Prénom: Naorha
Surnom: La Flèche de l'Ombreuse (Il s'agit du nom souvent utilisé pour nommer cette marchombre), l'Ombre des Forêts (Moins utilisé mais on a l'habitude de l'appeler ainsi à Al-Vor).
Age: 25 ans
Greffe: Ses mains deviennent des serres métalliques indestructibles qui lui permettent autant de se battre au corps à corps que de s'accrocher à certaines parois.

Particularité: Outre ses talents de marchombre, Naorha a hérité de l'art subtile du dessin de par sa mère mais elle ne sait pas le maitriser.
Tic: A tendance à prendre les inconnus de haut avec un détachement agaçant.
Avatar : Keira Knightley

~ Votre Famille ~

~> La Famille Proche

~> Le Père:

• Nom et prénom: Enovil Yel'Aëlva
• Date de naissance: Il y a cinquante ans, environ.
• Histoire, description: Enovil était un chevalier qui courrait l'aventure, mais qui se révélait bien plus sérieux, courageux et doué que la plupart de ses congénères. Il excellait dans le maniement de l'épée et était connu pour avoir les yeux les plus perçants de Gwendalavir.
• Métier: Chevalier
• Études: Science des armes, équitation, arts de la noblesse, ect..
• Situation actuelle: Décédé dans un raid Raïs.

~>La Mère :
• Nom et prénom: Ulia Yel'Aëlva
• Date de naissance: Il y a environ une quarantaine d'années...
• Histoire, description: Ulia était une dessinatrice connue pour avoir un don au moins aussi puissant qu'Altan ou Elicia Gil'Sayan. Elle était amenée à devenir Sentinelle mais refusa pour suivre son époux Enovil sur les routes de l'aventure. Mais même son puissant don ne la sauva pas...
• Métier: Dessinatrice
• Études: Académie de Dessin d'Al-Jeit
• Situation actuelle: Décédée dans un raid Raïs.

~> Les Frères et Sœurs : X

~> Les Oncles et Tantes : X

~ Votre Histoire ~

~>Enfance:


Et l'innocence fut vaincu...

Et le vent qui soufflait
Soulevait les cheveux de l'ombre
L'ombre qui murmurait
Les pensées des marchombres...


-Cesse de l'encombre avec tes chansons, Ulia ! Rit Enovil en tirant sur les rênes de sa monture. La petite aimerait bien dormir !
-Même pas vrai ! Protesta la petite en question. M'man, c'est quoi un marchombre ?
Ulia ferma les yeux avec un sourire rêveur puis les rouvrit pour regarder sa fille, sa chère fille.
-Ce sont les enfants de la brume, les lames de la nuit... Ils sont rêve et réalité à la fois...
-De vulgaires voleurs ! Dit le chevalier avec force. N'écoute pas les délires de ta mère, Naorha... Et maintenant, tu dors !
Obéissante, la fillette se coucha dans le chariot, s'emmitouflant dans ses couvertures, ses yeux bruns fixant le ciel sans nuage où elle voyait apparaitre des milliers d'étoiles. Au bout d'un moment, sa petite voix où se sentait l'accent de la peur s'éleva.
-M'man, chante encore s'il-te plait... J'ai peur du silence...
Ulia remonta tendrement sa couverture puis reprit doucement sa chanson, ses longues mèches brunes emportées par la brise.


Écoute leur silence
Ils écouteront battre ton cœur
Ton cœur au gout si rance
Qu'ils riront tous en cœur.
Écoute la voix des marchombres
Suit les marchombres sur leur voie
La voie du silence
La voie de l'espérance...


Le gout du sang avait inondé sa bouche, son odeur cuivrée et écœurante l'avait pris à la gorge. Elle avait couru longtemps après que son père ai été éventré et que sa mère ai hurlé. La forêt était horriblement grande et sombre, mais elle avait couru pour échapper aux horribles petites créatures aux visages tordus de désir de destruction... Elle avait couru si longtemps que ses jambes n'en pouvaient plus. Elle entendait encore les cris derrière elle. Et puis elle tomba, pleurant à chaudes larmes tandis que le silence revenait dans la forêt. Elle resta longtemps recroquevillé jusqu'à entendre le bruit d'un pas. Elle releva la tête pour voir un homme. Un homme si beau, si rassurant, si sur de lui, qu'elle en eu des frissons. L'homme la dévisagea puis s'agenouilla à côté d'elle.
-Je m'appelle Parn Erlah, se présenta t-il. Et toi, petite fée égarée ?
-... Naorha Yel'Aëlva.

Naorha se déplaçait comme un chat à l'orée de la forêt, son précieux arc entre ses mains. Près d'un arbre elle voyait un chevreuil qui mangeait les hautes herbes. Elle tira une flêche de son carquois, visa et puis...
-Bonjour.
Naorha poussa un cri qui fit détaler sa proie. De rage, la jeune fille se retourna pour lancer violemment son pied contre l'inconnu... Qui le bloqua de la main avec une attitude si nonchalante que Naorha écarquilla les yeux de stupeur. La personne face à elle était une femme, une femme belle mais à l'air sévère, dont les yeux bleus semblaient avoir vu mille destins, mille cataclysmes... L'adolescente en était figée d'effroi.
-Naorha Yel'Aëlva... Chuchota la femme. La voie des marchombres t'appelle... N'entends-tu pas le murmure de la brume ?
Marchombre... Les anciennes chansons de sa mère résonnèrent à ses oreilles, lui faisant perler des larmes aux coins des yeux. Et puis, la tristesse s'estompa pour laisser place à un grand silence. Un silence intérieur qui ne lui faisait plus peur, mais qui, au contraire, la rassurait... Au fond de ce doux silence, le tumulte de la tempête de ses émotions soufflait sa voie... Marchombre, Marchombre...
-J'entends sa voix...
-Que te dit-elle ?
-Marchombre...
La femme eu un sourire étrange, puis disparu derrière les feuillages, laissant la forêt silencieuse derrière son sillage, comme si elle n'avait jamais existé. Et pourtant, Naorha, restée en retrait, savait ce qu'elle avait vu et entendait toujours les murmures de la brume qui l'appelait à suivre son destin...

Al-Vor. Une ville immense pour une enfant qui n'a connu que la cabane d'un trappeur. Un trappeur du nom de Ryhan Yuno qui l'avait élevé après que l'étrange Parn l'ai emmené devant sa porte. Cela faisait quelques temps qu'elle ne venait plus voir son père adoptif qui ne s'était pas étonné en la voyant débarquer chez lui pour annoncer qu'elle partait. Il lui avait donné alors de quoi se débrouiller. Elle était parti du sud de la forêt et était descendu toujours plus loin devant elle, vers l'océan. La logique aurait voulu qu'elle emprunte d'autres passages pour atteindre une ville, mais c'était vers le sud qu'on l'appelait. Vers Al-Vor...
Et plusieurs mois de voyage lui ont permis d'atteindre enfin la cité. Naorha avait quinze étés désormais, et elle s'avançait vers une auberge. Elle s'assit à une table et commanda de quoi manger avec le peu d'argent que lui avait donné son père adoptif. Alors qu'elle dégustait, un homme s'assit à sa table. Il avait les yeux azurés, la peau mate, les traits taillés à la serpe, ses cheveux bruns commençant à grisonner tombant en bataille autour de son visage. Il regarda attentivement la jeune fille puis, à la pointe du couteau, écrivit :


Murmures de la lune
Chuintement d'une lame
Marchombre.

-Et toi, es-tu marchombre, Naorha ? Demanda Parn.

Suit la voie des marchombres, petite Naorha...

-Plus fort, petite ! Plus fort ! Brise les digues de ta conscience pour ne faire qu'un avec ta lame !!
Naorha bondissait, frappait avec la rapidité, la vitesse d'un félin. Cela ne faisait qu'un an qu'elle apprenait l'art marchombre, mais elle apprenait vite. Et elle aimait ça. Senti le vent dans ses cheveux alors qu'elle frappait, sentir le manche de la lame entre ses doigts, et même la douleur qui engourdissait ses muscles après un dur entrainement. Elle se sentait l'âme d'être une marchombre, l'âme de savoir frapper, glisser comme une silhouette de brume derrière le dos de ses ennemis...
-Arrête toi !
Le cri la stoppa net et Parn mit sa main sur son épaule, ses yeux azurés la sondant.
-Tu es prête pour être présentée au conseil, mon enfant...
A ces mots, le cœur de Naorha bondit tel un félin qui s'abat sur sa proie.

-Tu as eu de la chance avec l'Anh Ju...
-Non, j'ai juste eu de l'habileté !
Parn eu un sourire en coin, ses yeux pétillants de malice. Il n'avait guère envie de l'avouer, mais sa jeune élève était douée. Extrêmement douée. Lors de l'Anh Ju, elle avait accompli les trois épreuves sans faillir : elle avait atteint le bois d'une poutre d'une flèche avec les yeux bandés, avait gravit une des tours aux parois de verre d'Al-Jeit et avait ensuite accompli un saut dans le vide de la cité pour se réquisitionner en attrapant le tissu d'un long étendard. Elle pouvait désormais solliciter la greffe, comme l'avait fait il y a longtemps son maitre.
-J'ai vu une femme dans la salle du conseil, dit soudain Naorha. Elle a les yeux bleus... Qui est-elle ?
-Emarile Orlevil, l'une des plus grandes maitresses marchombres que notre guilde compte. Elle est amenée à faire partie du conseil... Son disciple est le jeune Navil, que tu as du voir.
Naorha hocha la tête, se rappelant parfaitement du fluet jeune homme aux lourdes boucles rousses qui semblait voler tant il marchait avec légèreté.
-Il a réussi ?
-Oui, tout comme Merine Il'Rafui, la disciple de Lika. Ils pourront la solliciter...
-Qui ?
-La greffe, au Rentaï...

-Vous voulez escorter ce convoi, damoiselle ?!
Naorha hocha la tête. Parn l'avait chargé de cette mission avant de pouvoir aller au Rentaï. Pour lui, c'était un excellent entrainement, bien qu'il ne doutait pas des capacités de son élève concernant sa débrouillardise. Nombre de marchombres avaient accomplis cela avant elle...
-Je me propose comme éclaireur, dit la jeune fille.
-Très bien, puisque maître Elrah vous recommande...
Elle esquissa un sourire puis rencontra soudain le regard froid d'une jeune fille plus âgé en armure de cuir. Elle était blonde, mais un blond comme délavé, et ses yeux verts étaient si pales qu'ils semblaient sans vie. Sa peau était blanche, sans autre couleur qu'un jaune huileux qui paraissait attaquer ses joues et un violet-rose écœurant qui teintait ses lèvres.
-Tiens, c'est toi la fille des bois ? Fit-elle avec un air dédaigneux.
-Merine Il'Rafui, n'est-ce pas ? Répondit Naorha en fronçant les sourcils. Tu fais partie du convoi ?
-Oui, sous les ordres de l'autre gros crétin de Thül...
Naorha tourna alors la tête vers le crétin en question, qui n'était autre qu'un vénérable guerrier aux traits marqués et aux cheveux gris. Il avait un côté paternel qui brillait dans ses yeux bruns mais on sentait qu'il n'était quand même pas du genre à plaisanter. Une hache de guerre brillait dans son dos et sa ceinture était ornée de tant d'objets tranchants qu'elle se demandait comment il faisait pour pouvoir marcher avec un tel attirail. Il leur demanda de se mettre en tête du convoi pour surveiller la route.
-Et si vous voyez des Rais, vous criez...
-Maman ! Acheva Naorha en montant sur la monture qui lui était attribuée.
Le guerrier eu un petit rire puis lui dit :
-Tu plairais à mon gamin, tiens ! Comment t'appelles-tu ?
-Naorha Yel'Aëlva.
-Eh bien moi, c'est Harald Thorkal.
Il lui serra brièvement la main avant de partir au galop en tête.

Le vent était si sec qu'il fit tousser Naorha alors qu'elle gravissait péniblement le Rentai. La montagne semblait palpiter sous ses mains alors qu'elle s'aggripait. La jeune fille avait dix-sept étés désormais. Dix-sept... Elle se hissa sur une plate forme, la respiration sifflante, avant de s'allonger sur le sol de pierre brulante. Ses cheveux formaient un éventail autour de sa tête. Au-dessus d'elle, Merine et Navil escaladaient avec aisance le Rentai, comme si ils avaient fais ça toute leur vie. Elle se releva et décida de s'accrocher du mieux qu'elle pouvait.Mais très vite, sa respiration et ses gestes s'accélérèrent alors que des murmures résonnaient dans ses oreilles. Elle grimpait de plus en plus vite, sans faire attention aux deux autres qui lui criaient de les attendre. Et puis Navil glissa, s'écorchant. Merine hurla comme une démente en tombant jusqu'à une plateforme rocheuse, mais elle sembla repoussée, encore et encore, jusqu'au bas de la montagne. Navil tentait tant bien que mal de continuer à grimper, mais son visage n'exprimait que la souffrance. Son regard se porta vers Naorha qui allait si vite qu'elle semblait voler. Elle se hissa jusqu'à une grotte où elle entra, telle une ombre qui rejoint sa maison : l'obscurité...


Suis-je en train de mourir ?
J'ai l'impression de dériver...
Je ne vois qu'un océan d'étoiles, plus belles les unes que les autres...
Je me perds, je me rends compte que je suis seule au milieu de tout cela...
Je suis l'orpheline, l'enfant des bois...
Qui suis-je ?
...
Marchombre


-Elle va bien ?
-Je ne sais pas, les deux autres l'ont retrouvées inconsciente au milieu de la grotte...
Naorha ouvrit les yeux, rencontrant le regard azuré de Parn et celui d'un vieil homme qu'elle ne connaissait pas. Son maitre congédia celui-ci puis s'assit à côté de son élève.
-Naorha, commença t-il d'une voix hésitante. Merine et Navil n'ont pas obtenus la greffe. Ils ne l'ont pas dis mais je l'ai vu à leur visage. Je veux savoir si toi tu l'as eu...
La jeune fille battit des paupières puis fixa ses mains. Elles étaient semblables en tout point au début du voyage, pourtant, elle avait l'impression qu'elles étaient différentes. Comme si elles avaient changés en profondeur... Elle se rendit alors compte qu'elle était bien. Totalement bien. Comme complète. Et elle comprit ce que cela signifiait.
-Je l'ai eu ! Je l'ai eu !!

-Tu as réussi, Naorha.
Parn lui sourit alors que la jeune femme écartait une mèche de son visage en sueur, sa respiration si sifflante qu'elle semblait sur le point de s'évanouir.
-Tu as réussi l'ultime épreuve. Tes trois ans sont écoulés. Tu es digne. Tu es marchombre désormais.
Elle se releva, fixant celui qui avait fait d'elle ce qu'elle était, celui qui l'avait sauvée jadis, celui qui semblait l'avoir toujours protégé.
-Maitre...
-Va, Naorha. Va, et sois libre comme le vent. Tes chaines sont brisées.
Elle resta un instant à regarder puis fit volte face pour courir, pour sauter. Elle se jeta dans le vide et sa main devint d'acier pour plonger dans la roche. Elle se laissa glisser jusqu'à terre pendant de longues minutes avant de fuir. Fuir vers le sud. Fuir et hurler à la face du monde qu'elle était libre, libre et marchombre.

[Je tiens à préciser que je ne suis pas totalement sur que les rites marchombres soient comme ça, notamment à propos du Rentai, je n'ai pas le livre, il faudrait que je le consulte à la bibliothèque]

Alexandre le Grand ! Tu me manquais ! super début de fiche ! J'ai hâte de venir te parler avec mon sabre (XD)

Très bon choix de greffe ! Tu m'épates (en même temps il en faut peu pour m'épater...)

Pour le Rentaï, c'est très bien ! Pas de soucis ^^ Sauf que si Les deux autres n'ont pas eut la greffe, ils ne peuvent pas escalader la montagne rapidement et souplement...

C'est gentil Napoléon =) Bon, je n'ai pas terminé, ça risque de faire roman mais qu'importe, ce personnage m'inspire. Attends toi à des lignes lol
Et pour mon choix de greffe... Moi je trouvais ça pratique et classe, bien que j'ai hésité avant de choisir ça.
Bref, merci et je repars continuer ma fiche (Qui risque d'être en morceau lol)

Edit : Ok je change ça ! J'ai voulu tout à l'heure aller chercher les deux premiers Ellana à la bibliothèque, ms ils étaient déjà pris XD

~ Description du Personnage ~

~>Physique :
Naorha a tout d'une marchombre. D'ailleurs, on l'a souvent comparée avec Ellana Caldin. Il faut dire qu'il y a une certaine ressemblance...
Au premier abord, on constate que cette jeune femme est grande, élancée, à la silhouette souple et athlétique. Elle marche toujours avec une aisance féline, des pas assurés et rapides. Ses mouvements sont toujours dotés d'une grande fluidité et vivacité qui lui assurent toujours une parfaite adresse. Elle a la peau pâle, de grands yeux d'un noir obscur, aussi profond que la nuit, et des boucles ondulées aussi sombres que les plumes d'un corbeau. Son visage ovale arbore des traits fins, signe d'une certaine beauté. Ses sourcils semblent constamment froncés en un air farouche et vaillant, son nez est plutôt pointu et sa bouche est rouge comme une pomme, habilement dessinée. Son ventre arbore une vieille cicatrice, remontant à l'age du début de son apprentissage.
Naorha est la plupart du temps habillée de cuir, avec une armure fine qui la couvre guère, révélant des tatouages bleuâtres et tribales. Mais il lui arrive de mettre des vêtements de tissu mais rarement des robes.

~>Caractère :
Bien qu'elle ne le montre pas, Naorha a été dévastée par la mort de ses parents. Le souvenir du raid qui a détruit son enfance est ancrée en elle, la rendant plus fragile et sensible que la plupart des marchombres. Mais elle tente de cacher ses sentiments, de les masquer pour ne montrer d'elle qu'une vaillance sans borne, mais mêlée à une certaine dose de prudence. Il lui arrive parfois de fuir, mais c'est plus les autres ou ses sentiments qu'elle fuit pour éviter de s'y confronter. Elle essaye le plus souvent d'être honnête avec les autres, mais comme lui a dit si fréquemment son maître, le mensonge demeure parfois la seule voie possible. Elle est plutôt calme de nature, peu habituée, à la colère, mais réagit vite aux piques. De nature solitaire, elle ne va guère vers les autres, mais apprécie plus que tout la compagnie de ceux qu'elle aime.

~ Hors Jeu: ~

Comment avez-vous
connu le forum ?: (Cochez la case qui convient)
• Top site []
• Forum de Pub []
• Bouche à oreille []
• Autres [X]
• Si autres, précisez : Pub sur un forum (Alizian)

~> MOT DE PASSE : (dans le règlement) Dame

Beautiful ! Validée mon cher Alex !